Débordement...

Il vint masser doucement ses épaules :

Tu as effectivement besoin de te détendre, les filles ne risquent rien : si elles ont besoin de quoique ce soit, elles pleurent, on les entendra.

Et si elles pleurent pendant... enfin tu vois pendant qu'on fait l'amour tous les deux ?

Elle se laissa masser et se décontracta un peu.

Eh bien... On sera obligé d'arrêter mais ça ne sera pas un gros souci : on pourra reprendre après et on arrivera à s'occuper d'elles quand même.

ça risque de nous frustrer. On peut essayer, mais ce n'est pas sûr qu'on est envie de reprendre après. Mais ce n'est pas sûr qu'elle se mette à pleurer non plus. Bayonne moi si je donne trop de voix pour ne pas les réveiller plaisanta Marie.

C'est sûr que ça casse un peu le moment, mais on verra comment ça se passe, si elles se réveillent... On finira par réussir à trouver des moments pour nous.

Je pense trop à tout ce qui ça ! Je devrais me laisser aller pour une fois...

Je crois que ça te ferait du bien !

Elle mit ses bras autour de lui pour le serrer fort contre. Leurs corps nu l'un contre l'autre aida Marie à se remettre dans l'ambiance.

Je crois aussi.

Elle vient l'embrasser.

Il répondit à son baiser, pour se remettre également dans l'ambiance câline.

Elle l'embrassa longuement et elle lui caressa le dos et les épaules.

Il parcourut son corps de baisers, ayant envie d'elle.

Marie fit durer le moment, elle avait besoin de se détendre et relâcher la pression de la journée. Elle frissonna sous ses baisers, ça lui faisait de l'effet : il fallait le dire. Quand il vient embrasser sa pointrine, elle ressentit une sensation indescriptible lui remonter le long de la colonne vertébrale, tout ce qu'elle pouvait dire c'est qu'elle aimait beaucoup ça, et que ça lui faisait beaucoup d'effet. Elle se laissa aller et soupira de plaisir et d'envie.

Il continua à s'attarder à embrasser et caresser son corps, afin que Marie soit totalement détendue et prenne du plaisir, autant que lui en ressentait.

Elle se laissait aller et frissonna sous chaque caresse. Elle prenait du plaisir et décida de se concentrer sur eux. Elle le caressa aussi des épaules jusqu'au bas des reins et les fesses. Elle commençait à être un peu plus active tandis qu'il avait permis qu'elle entre dans leur plaisir. Elle se sentait femme. Et plus dans l'immédiat, une mauvaise mère et compagne, elle se sentait aimée au contraire et se vida la tête.

En effet, Loïck avait dans l'idée qu'elle se sente bien et désirable et de lui prouver que leur parentalité n'avait pas changé son désir pour sa compagne, dont il avait très envie.

Elle était sous lui. Il lui donna encore des caresses. Ses mains était baladeuses. Marie, l'embrassa encore et encore. Il respirèrent de temps à autre mais le couple semblait être sur la même longueur d'onde. Il se cherchait l'un l'autre se trouvait et s'appréciait. Marie se sentait bien. Elle en avait presque oublier les filles à côté. ses seins pointaient et elle passa une de ses jambe par dessus celle de Loîck pour l'entremêler.

Il caressa ce qu'il pouvait atteindre de la jambe que Marie avait mêlée aux siennes, continuant à l'embrasser.

Elle mit sa tête en arrière tandis que ses baiser lui firent du bien, et que ses caresses la rendait frémissante.

Je me sens bien !

Elle ferma a demi les yeux et se laissa guider par ses émotions.

Moi aussi...

Il continua encore un peu les préliminaires.

Marie aussi ne précipita pas les choses. Leurs gestes était encore plus sensuels et on sentait bien que leur corps se laissait aller l'un vers l'autre, doucement.

Marie l'embrassa encore plus coquinement.

Il répondit au baiser très coquin, appréciant de retrouver cette connexion avec sa compagne.

Elle avait eu du mal a se laissé aller et a se lâcher. Et elle arrivait maintenant a être toute entière pour son homme. La connexion marchait et son regard brillait quand elle croisa celui de Loïck.

Il lui adressa un sourire tendre et complice, son regard exprimait les mêmes émotions et l'amour et le désir qu'il avait pour elle. Se reconnecter ainsi avec sa compagne lui faisait du bien et faisait sûrement du bien à leur couple.

Elle se sentait vraiment bien. Marie lui rendit ce sourire complice, ce petit moment de bonheur. Elle ne cessait de le regarder comme si elle s'accrochait à lui fortement. Elle semblait de plus en plus entreprenante dans leur étreinte. Et elle était prête à l'accueillir en elle, à l'aimer de tout son être.

Sujet: Re: Débordement... Ven 30 Sep 2011, 13:06

Loïck était prêt, lui aussi. Il entra donc doucement en elle, pour une étreinte tendre mais passionnée.

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée