Meurtre !

Marie et Audrey arrivèrent donc sur la scène de crime : une femme assassinée. Le légiste était là.

Bonjour. Qu'est ce qu'on a ? demanda la flic.

La légiste répondit pendant que Marie inspecta les lieux du crime et qu'elle alla voir la proc' qui lui expliqua un peu la même chose de l'autre côté.

Bonjour, Il s'agit d'une jeune femme de 27 ans, Emilie Lautrec, elle a reçu plusieurs coup de couteau à l'abdomen et probablement des coups violents sur la tête. D'après ses poignets, il semblerait qu'elle se soit débattu. expliqua la légiste.

Le légiste, en effet, expliqua un peu la même chose à Audrey et celle - ci songea, à voix haute :

Coups de couteau, coups à la tête, c'est passionné. Une dispute qui tourne mal ?

ça c'est votre domaine répondit la légiste, moi je fait parler votre victime scientifiquement seulement.

Hein ? Heu oui, oui, pas de soucis. dit Audrey.

Elle ne s'était pas attendue à la réponse. Elle parlait toute seule, parfois, lors d'une enquête.

**T'abuses, tu as une partenaire pour ça.**

La légiste la laissa donc et partie avec la victime. Marie la rejoignit :

On a pas retrouver l'arme du crime, l'assassin a du l'emporter avec lui dit Marie ou s'en débarrasser.

Audrey soupçonnait qu'il s'en était débarassé : si c'était une dispute passionnée qui avait très mal tourné, l'homme avait dû agir un peu n'importe comment et jeter l'arme n'importe où plutôt que de la garder et de réfléchir à quoi en faire.

Elle demanda, à tout hasard en voyant deux verres sur la table :

On pourrait relever les empruntes ? La victime avait peut - être laissé entrer son agresseur ?

Oui, c'est même approprié. Marie sortit alors un gant et un sachet dans lequel elle glissa les deux verres séparément.

On va envoyer ça. On devrait fouiller son ordinateur portable et son téléphone, chercher du côté de sa famille, de ses amis et aussi du côté professionnel. Interrogé le voisinage également.

hs: je vais créer la procureur Brochène, Marie te la présentera lol ^^

Oui, pas faux.

Audrey confirma :

Son entourage pourrait en effet, nous aider pour savoir si quelqu'un aurait des raisons de faire ça.

HJ : Ok !

La légiste vous a appris quelques chose autrement ? demanda Marie

Non, elle a pris des coups de couteaux et d'autres à la tête. Mais rien de spécial. dit Audrey. Ou rien de plus. A qui va - t'-on annoncer la nouvelle en premier ?

Sa famille ! elle était marié et avait deux enfants. D'après une voisine, les enfants sont à l'école et le mari surement a son cabinet d'avocat. Il faut lui annoncer. dit Marie.

C'est parti. dit Audrey. Annoncer les morts aux familles n'était pas son moment préféré, mais elle ne se plaignait pas, alors elle ne le dit pas. Situé par vers où, le cabinet de son mari ?

Pas très loin d'ici, il lui fallait à peine un quart d'heure pour rentrer à pied chez lui d'après cette même voisine, c'est la proc' qui c'est chargé de lui parlé, ce qui explique pourquoi je sais tant de chose. ajouta Marie.

D'accord, aux Etats Unis, le procureur ne vient jamais sur l'enquête, il intervient après, quand on a suspect arrêté. dit Audrey.

Disons qu'elle, elle suit tout sur le terrain, je travail la plupart du temps avec elle dit Marie.

J'espère qu'elle a bon caractère, compatible avec le côté fonceur. dit Audrey.

Elle est plus posé, et on a eu quelques différent mais elle me laisse souvent faire ce qui me semble être à faire. dit Marie.

Tant mieux, l'important est d'arriver à travailler ensemble, même si elle n'a pas le même caractère. dit Audrey.

Elle est souple dit Marie. Enfin vous la jugerez par vous même. Marie et Elisabeth était amie alors, elle s'entendait bien.

On va rendre visite à son mari ? proposa Marie.

Oui, je verrai. D'accord, on y va. dit Audrey.

Les deux flics allèrent donc jusqu'au cabinet du mari. Elles furent reçu. Marie prit alors la parole malgré qu'elle n'aimait pas ce moment :

Monsieur Lautrec, Je suis le lieutenant Balaguère et voici le Lieutenant Reese, votre femme... elle est morte dit Marie essayant d'être le impassible possible.

Oh... Oh... Mon Dieu, ma femme ? Mais c'est impossible, elle a... elle... Je lui ai parlé il y encore quelques heures... Mais que c'est - il passé ?? demanda le mari, effondré.

Je suis désolé... Dit Marie, elle était toujours mal à l'aise dans ces situation.

Elle a été assassiné, on va tout faire pour connaitre la vérité...

Assassinée ? Oh non ! Non, mais qui ? Pourquoi ? Comment ? interrogea l'homme.

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