Enquête !

Marie et Audrey était revenu à la brigade pour éplucher les comptes de la victimes, ses mails, les appels téléphonique enregistré. Tout pourrait être utile.

Audrey soupira :

Je dirais que Blanc est à convoquer. Le reste a l'air plus normal.

HJ : Vais manger !

Oui, au moins on sera fixé sur les liens qu'il entretenait avec la victime. dit Marie. Je vous laisse l'appelé, l'avantage c'est qu'on a son numéro. un téléphone portable, ça donne quelques réponse.

J'ouvre sa boite mail.

HJ : Encore 2 minutes finalement le micro ondes dit ^^ !

Allez - y ! dit Audrey, s'approchant pour regarder les mails.

D'accord comme vous voudrez dit Marie.

Elle prit alors le numéro et appela. Un homme répondit et accepta de passer au poste, se demandant d'ailleurs pourquoi on le convoquait.

Marie rejoingnit alors Audrey pencher sur les mails.

Audrey regarda les mails :

Certains font état d'une liaison entre elle et Mr Blanc... Ils en parlent entre eux, ça a l'air de dater un peu comme histoire.

Donc elle aurait un amant. Dit Marie

Tu crois... heu... on se tutoie ?

Oui, on dirait...

Audrey dit :

Oui, d'accord, après tout, on va travailler souvent ensemble alors autant se tutoyer.

HJ : Je ne suis pas venue hier soir car mon frère avait décidé de regarder un film et comme il est à Paris le reste du temps pour les études, je suis restée avec lui, histoire qu'on se voit quand même ^^ !

Hs: pas de soucis tkt, moi c'est hier que je n'étais pas là de toute la journée lol !

Ok ! Donc tu crois qu'elle aurait pu avoir cette liaison encore aujourd'hui et tout cacher à son mari. Ce serait possible, néanmoins ça n'explique pas pourquoi elle lui versait autant d'argent. remarqua Marie.

L'amant qui l'a fait chanter ? Il pourrait menacer de tout révéler au mari ? suggéra Audrey.

HJ : Ok ^^

C'est possible, mais s'ils étaient ensemble en cachette, il serait le premier a ne pas vouloir que le mari s'en mêle, ça paraitrait logique. A moins qu'il n'y ai autre chose derrière tout ça.

Ils parlent d'argent dans les mails ? demanda Marie.

Elle était peut - être amoureuse et lui, juste avec elle pour l'escroquer. On ne sait jamais, avec les femmes, certaines font beaucoup de choses stupides à cause d'un homme. Ou alors, elle voulait le quitter et lui, il l'a faisait chanter pour la forcer à revenir ou rester avec lui...

Audrey dit :

Non, pas dans ce que j'ai lu.

Ou alors la femme de mr Blanc, a découvert leur liaison et c'est elle qui le faisait chanter en contrepartie de tout révélé à son mari. Elle aurait refuser de payer et elle l'aurait tuer pour récupérer son mari. lança Marie comme autre hypothèse.

Oui, ça peut marcher. confirma Audrey. Ce serait un bon mobile. On verra avec lui et on convoquera Mme Blanc.

Oui, en effet.

Pour le portable autrement, j'ai regarder pas d'autre numéro suspect en dehors de l'amant. dit Marie.

Disons que l'amant est la piste la plus sérieuse. L'amant ou sa femme. dit Audrey.

hs: Je fais venir la proc' ?

HJ : Oui, d'accord !

Elisabeth Brochène, premier substitue du procureur de la république, travail souvent sur les enquêtes qu'elle suit, ou plutôt constamment, elle aimait voir les victimes en se rendant sur les lieux des crimes, pour se donner une force supplémentaire pour enfermé l'assassin et savoir pourquoi elle se bat. Elle faisait en général équipe avec le lieutenant Balaguère. Et cette fois-ci encore, cela n'échappait pas à la règle, elle suivait également l'affaire. Elle avait fait son enquête de son côté pendant que Marie et Audrey faisait la leur de leur côté. Elle arriva à la brigade. Elle y était habitué maintenant.

Lieutenants ? Vous avez avancé ? demanda la proc'

Audrey se retourna mais n'arriva pas à situer qui était la nouvelle arrivée : le procureur sûrement ? Elle laissa le soin à Marie de répondre pour avoir le temps de cerner la femme.

Madame la procureur ! s'exclama Marie qui ne l'avait pas vu arriver.

Je suis désolé si je vous ai fait peur. répondit Brochène.

Vous en êtes où alors ?

Je vous présente le lieutenant Audrey Reese, on travail ensemble sur l'affaire. dit Marie.

Reese tendit la main vers la nouvelle arrivante, qui, a elle aussi d'ailleurs, avait failli faire attraper une crise cardique en arrivant sans prévenir :

Enchantée, madame... ?

Elle ne se rappelait pas si on avait déjà donné son nom.

Je suis le procureur Elisabeth Brochène. répondit-elle à Audrey.

Les autorisations, c'est chez moi, Et la collaboration sur l'enquête aussi dit la Proc' avec un peu d'humour mais toujours autant de sérieux.

Enquête !

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