Infection de Marie

Oui, ça a du beaucoup changer. Répondit Addison.

Allons y, Dit elle en prenant Marie doucement par le bras.

Marie continua plus doucement... Dans ses souvenir il y avait une salle à droite et elle la reconnu tout de suite même si ça avait changer. Et ça la perturba beaucoup. Elle s'approcha... Et resta bloquer devant la porte. C'était le bloc...

C'est ici ? Demanda Addison, en se doutant bien de la réponse.

Tu veux y entrer ?

Oui c'était là... je l'aurais reconnu tout de suite...

Je... elle hésita puis accepta.

Je veux bien...

Addison ouvrit alors doucement la porte. Et entra dans le bloc.

Elle se tourna vers Marie et la regarda, elle semblait hésiter. Elle lui tendit alors la main, pour lui montrer qu'elle était la pour elle.

Marie rentra vraiment hésitante. L'ambiance était spéciale. Marie ne s'y sentit pas spécialement bien. Elle rentra vraiment et regarda tout autour d'elle c'est la que la superposition de maintenant à ya 20 ans se fit. Elle avait la tête qui tourne et regardait droit devant elle. ça n'allait pas vraiment... Elle toucha la table d'opération de ses deux mains comme quand elle était petite et qu'elle s'y était accrocher pour voir le visage de sa maman. Elle vacilla vraiment.

Addison vit que Marie n'allait pas bien. Elle se plaça alors à côté d'elle et posa une main sur son dos, comme pour la maintenir. En voyant que Marie vacillait, elle la prit par la taille.

Viens, on y va. Lui dit elle. On reviendra demain si tu veux.

Non attend dit Marie au bord du malaise.

Addison attendit alors mais Marie semblait aller de plus en plus mal.

Marie, tu n'es vraiment pas bien la. Il faut que tu ailles t'allonger.

Elle voyait sa mère sur la table et n'arrivait pas a détacher son regarde de la table vide... La voix d'Addison était celle du médecin qui voulait la faire sortir...

Marie ? Marie tu m'écoutes ? Dit elle un peu plus fort. Elle posa sa main fraiche sur le visage brulant de Marie, peut être que cela la ferai réagir.

Marie, c'est moi, c'est Addison.

Elle tourna son visage fiévreux de nouveau et brûlant vers Addison.

Je sais... dit Marie avant de tourné de l'oeil...

Allez viens, tu dois vraiment te reposer Marie. Elle essaya de la diriger vers la porte de sortie mais Marie ne bougea pas.

Elle se mit à pleurer et malgré qu'Addison la tient, elle s'accrocha a ce qu'elle trouva.

Addison pu atteindre le fauteuil roulant -qui se trouvait à côté d'elle- sans lâcher Marie.

Assieds toi, lui dit elle gentiment en la guidant. Marie s'assit sur le fauteuil et se mit à pleurer.

Alors Addison prit sa main. Je te ramène à ta chambre, tu as besoin de sommeil.

Marie ne put rien dire et Addison l'y ammena... Marie continuait de pleurer...

En arrivant dans la chambre, Addison aida Marie à s'allonger sur le lit. Elle allât mouiller un linge et lui déposa sur le front, elle était brulante de fièvre. Elle lui donna aussi un médicament pour faire tomber le fièvre.

Marie s'agita d'abord puis se laissa faire. Elle était tellement fatigué par la fièvre et les médicaments qu'on lui administrait qu'elle finit par rester dans son lit, à laisser faire Addison sans la contredire. Même ses larmes séchèrent. Elle était plus concentré sur son état qu'autre chose. Elle luttait contre la fièvre, les tremblements et la transpiration.

Ca va aller, dit Addison, les médicaments vont vite faire effet. Essaye de te détendre.

Je vais me détendre dit Marie qui commençait à déjà sombrer en fermant les yeux.

Quelques instant plus tard, Marie s'était endormie.

Addison la regarda puis s'assit dans le fauteuil près du lit, et ferma les yeux à son tour, même si elle savait qu'elle n'allait pas pouvoir se rendormir.

Marie ne dormit pas longtemps mais sa fièvre avait eut le temps de baisser un peu... Elle se réveilla en sursaut... et se dit qu'elle n'avait pas rêver en voyant la pièce...

Addison ouvrit les yeux quand elle entendit Marie bouger un peu dans son lit. Elle ne bougea pas mais la regarda.

C'est un cauchemar... Je vais me réveiller c'est juste un cauchemar souffla simplement Marie passant ses mains sur son front et faisant le geste de ramener ses cheveux en arrière. Elle n'avait pas vu qu'Addison la regardait.

Addison se leva de son fauteuil et prit la main de Marie.

J'ai bien peur que ce ne soit pas un cauchemar, dit elle à son amie.

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