Un carnage à réparer...

Marie après avoir s'être fait remonter les bretelles et pas le procureur cadiergues et par le patron de la brigade pour une grosse erreur qui avait de quoi les mettre en colère elle se voit alors attribué Reese pour reprendre l'enquête avec elle...

Reese la rejoignit et demanda :

Tu peux me donner les détails sur l'affaire ?

Elle ne les avait pas et ne critiqua pas non plus les ratés de Marie, ça pouvait arriver à n'importe qui d'autant plus si le suspect avait un complice inattendu.

Bien sûr répondit Marie.

Elle commença alors à lui expliquer :

Une femme de 27 ans a été retrouver dans un bois d'une balle dans la tête, en interrongeant son entourage, on a appris qu'elle travaillait dans une grosse entreprise de cosmétique. Pas marié, pas d'enfant. D'après ses email, lettre retrouver dans l'appartement de la victime, carte sim de téléphone plusieurs appelle et contact avait été lancé de façon harcelante par le patron de son entreprise... Le garde de nuit du laboratoire, les a entendu se disputer quelques jours auparavant... Elle travaillait dans la partie laboratoire de l'entreprise et dans la création de crème... Voilà... On avait l'arme du crime, les empreintes retrouver sur la cross indiquait qu'il s'agirait du patron de l'entreprise mais l'arme appartenait à un autre employé de l'entreprise... Et pour le moment on ne sait pas pourquoi elle a été tuer et j'ai préférer ne pas en rajouter sur l'état catastrophique de mon enquête... L'arme du crime a disparut ainsi que les relevé d'empreinte et les test effectuer et le suspect est dans la nature et on pas la moindre trace d'où chercher....

D'accord... Est - ce que le type qui possédait l'arme et le patron pourraient être complices du meurtre ? questionna Audrey.

Ca pouvait aider à savoir qui avait les preuves et où se cachait le patron suspect...

C'est possible mais il affirme que l'arme lui a été voler il y a deux semaines, qu'il a déposer une plainte et on a vérifié... Mais pour s'être évader et pour que les pièces a conviction est disparut il doit bien avoir quelqu'un qui l'ai aider !!

Oui, je suppose aussi... Peut - être que c'est bidon son arme volée, il a inventé ça pour couvrir ses arrières et pouvoir aider son complice sans être soupçonné ? questionna Reese.

Oui c'est possible tu penses qu'on devrait le réinterroger... ?

Oui, je crois... Mais avant on devrait vérifier si quelque chose a changé dans sa situation... Est - ce que des gens l'ont vu plus souvent avec le patron, est - ce qu'il a touché de l'argent, peut - être que le patron de cette femme a payé pour ce complice ? remarqua Audrey.

Autant tenter d'avoir du concret avant de l'interroger.

HJ : Je vais manger !

Tiens regarde ce sont les comptes de l'entreprise remis par le comptable ! Et il ya eu des détournements d'argent et des sommes retirer en liquide par le patron, lui même !

Ca tend à accréditer la thèse de la complicité et qu'il paie ce complice... On devrait vérifier les finances du propriétaire de l'arme, avec un peu de chance, on trouvera des traces de l'argent retiré par son patron sur son compte en banque.

Oui tu as raison dit Marie.

Je vais demander ça.

Elle passa deux trois coup de fil et 20 minutes plus tard elle reçoit par faxe le relever bancaire du propriétaire de l'arme !

Alors ? demanda Audrey, une fois que Marie eût le document par fax.

Il y a des rentrer d'argent Le numéro de compte correspond je crois. Elle vérifia quand même...

Oui c'est le même il y a une dizaine de rentrer d'argent provenant du compte du patron depuis ces 4 dernières semaines !

Maintenant, on a de quoi faire pression sur lui quand on l'interrogera... remarqua Audrey.

Elle aurait pu trouver ça avant mais elle ne l'avait pas trouver... elle était un peu en colère contre elle.

Oui, on va le convoquer !

C'était l'intérêt d'avoir quelqu'un avec soi, ça permettait de faire penser à ces petites choses.

Oui, t'as raison, autant lui dire de se déplacer.

Ca perturberait en plus le suspect de venir et de se faire coincer pour un interrogatoire.

Tu peux l'interroger ? demanda gentiment Marie.

Oui, pas de soucis. répondit Audrey.

Elle se doutait que Marie n'était plus très en phase avec l'enquête, vu les échecs accumulés.

En effet, elle connaissait bien son enquête mais après tout ce qu'elle avait accumulé de négatif autant ne pas continuer à s'enfoncer et mener alors un interrogatoire merdique sachant qu'elle serait même capable de s'énerver et s'énerver dans une enquête après s'être déjà fait engueuler la elle risquait de vraiment se faire tuer sur place et plus seulement réprimender !!

Quand le suspect arriva, Audrey s'occupa donc de l'interroger sur sa complicité avec son patron dans le meurtre de la jeune femme, preuves à l'appui grâce à l'argent qu'il avait au début tenté de faire passer pour un salaire, parfaitement impossible vu les sommes... Il finit par avouer avoir fourni l'arme au patron de l'entreprise puis s'être fait payé aussi pour être son complice et voler les preuves et le faire évader de la salle d'interrogatoire.

En vue de pouvoir faire chanter son patron, il avait gardé les preuves de Marie chez lui -Reese songea qu'il faudrait fouiller - et il indiqua également que le patron devait s'être caché dans un hôtel, un hôtel snob dans le 7ème arrondissement.

HJ : Je n'ai pas fait le détail de l'interrogatoire, je ne sais pas si tu aurais préféré ?

hs: ça me va

Du coup suite à ça, les deux enquêtrice avec perquisition rogatoire à l'appui que Marie n'avait absolument pas oser demander à Loïck partir fouiller la maison du complice...

Reese retrouva les preuves de Marie, cachées dans le tiroir à chaussettes du complice :

Regarde, je crois que c'est ce que tu as collecté...

Elle avait demandé l'autorisation de perquisitionner à Loïck et supposa qu'il faudrait qu'elle remette ça pour obtenir l'autorisation de fouiller l'hôtel où le suspect résidait.

Marie était soulagé qu'on les ai retrouvé !

Oui en effet dit la jeune femme... Mais il manque les échantillons de trace Adn remarqua la flic... Et elle se demanda si le complice avait pas nettoyé l'arme ! En tout cas c'était l'arme qui avait servit à tirer c'était une certitude... Le numéro de l'arme était le même que celui qu'elle avait enregistré !

On n'a qu'à renvoyer l'arme à la ballistique, avec un peu de chance, pour ne pas ruiner ses chances de faire chanter son patron, si le besoin se présentait, il n'a pas nettoyé les empruntes... Sinon, peut - être que le labo a gardé une trace informatique de ce dossier et qu'ils en seront quittes pour juste ré-imprimer tes relevés ADN ?

Oui tu as raison... dit Marie... On emmène ça avec nous dit la jeune femme.

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