Otages au tribunal !

Dès que vous le sentez vous pouvez transmettre que nos supérieurs on donner l'ordre de le laisser partir libre dit Elisabeth, convainquez le !

A partir de là des renforts seront sur place pour l'arrêter. Charlie et Marie sont déjà en route.

D'accord, je vais le faire. Je vais lui transmettre.

Il avait dit ça de façon à ce que Schmitt croit que Elisabeth venait de donner à Loïck une info de dernière minute et que, de là, le procureur puisse expliquer que leurs patrons avaient décidé de laisser partir l'accusé libre du tribunal.

Ca lui prit une bonne demie heure de convaincre l'homme, il avait utilisé tous les prétextes bidons du style "on accélère la procédure à cause de la situation exceptionnelle". Il avait même inventé le numéro de l'article du code pénal que c'était supposé être.

Entre temps les flics avaient eu le temps d'arriver. Tout le monde était stressé et sur les nerf !

Elisabeth ajouta :

De notre côté tout est ok...

D'accord. Il va sortir. dit Loïck, qui fût soulagé quand l'homme le fit : maintenant des flics armés allaient s'occuper de lui.

Il avait comme l'impression que Marie et Crews iraient plutôt les rejoindre eux que de s'éterniser à ramener Schmitt en prison, ce que d'autres policiers pouvaient faire.

L'homme sortit alors et fut piégé.

Elisabeth sentit le soulagement venir quand il eut les menottes et fut maitriser.

Une fois le suspect maîtrisé, d'autres policiers en uniforme se chargèrent de le ramener en prison, c'était plus leur rôle que celui des lieutenants...

Du coup, Crews décida plutôt d'aller voir comment allait sa partenaire... Trouver la salle fût simple, comme tous les otages se précipitaient pour sortir, il n'avait qu'à aller vers l'endroit qu'ils fuyaient.

Il trouva facilement Reese, qui ne tenait assise que parce - qu'elle était contre le mur.

Il posa une main sur son front et utilisa la deuxième pour l'aider à compresser la blessure :

Hey. Ca va aller, on a prévenu une ambulance, ils vont entrer dès que la foule des otages qui sortent se sera un peu dissipée.

Audrey profita de la proximité de Crews avec elle et du fait que Loïck n'écoute pas ce qui se disait pour dire :

Crews, si je perds connaissance, tu refuses les sédatifs pour moi.

Elle ne voulait pas prendre le risque de replonger.

Loïck n'écoutait pas ce que se disait les policiers, se demanda une seconde s'il se passait quelque chose entre eux et fût soulagé de voir arriver les ambulanciers.

Il était un peu secoué et ne réalisait presque pas qu'il pouvait bouger à nouveau, que le danger était écarté.

Marie elle arriva à son tour après avoir réussi à se frayer un passage. Elle vit Audrey assise par terre avec Crews à ses côté et Loïck un peu sonné. Elle courut d'abord vers lui soulagé...

Il respira enfin en la voyant, c'était fini ! Il lui adressa un faible sourire, comme pour signifier que ça allait à peu près. Ne sachant pas qui savait pour eux, Loïck n'avait pas osé la prendre dans ses bras, mais en rêvait !

Elle lui rendit son sourire lui montrant son soulagement.

Elle aussi voulait se jeter dans ses bras mais elle se demandait si c'était bien raisonnable. Elle envoya tout balader et suivi juste ce que lui dictait son coeur tant pis pour le reste. Elle ne pouvait résister et l'enlaça.

J'ai eu peur pour toi dit Marie.

Il la serra contre lui :

Je savais que vous nous sortiriez de là... Penser à toi et à te revoir m'a fait tenir...

On a fait tout ce qu'on n'était capable de faire dit Marie Tu te sens comment ? demanda la jeune femme soucieuse de son bien.

Je sais et apparemment ça a suffi. Ca va aller, secoué, mais moi ça ira. dit - il.

Il jeta un oeil vers Crews et Audrey, Charlie aidait toujours sa partenaire à comprimer la plaie et avait laissé une main sur le front de celle - ci. Il lui sembla que Reese avait plus de mal à parler que tout à l'heure.

Crews, pendant ce temps, se décida finalement à porter Reese, pour la sortir de là et l'emmener à l'ambulance, les secouristes semblant incapables de se frayer un chemin.

Reese, signe d'une santé relativement bonne rala à cette portée, mais, signe de moins bon, pas assez fort pour empêcher son équipier d'agir.

Marie voulu les suivre et voir comment allait son amie. Elle prit la main de Loïck et les suivis. Elle croisa au passage la procureur Brochène qui ne savait pas pour tous les deux.

Reese se félicita d'être encore consciente pour voir Elisabeth découvrir pour Loïck et Marie et aurait préféré, d'un autre côté être inconsciente pour faire l'autruche, ne pas voir les gens la voir être portée par Crews pour sortir du tribunal.

Loïck supposa que sa collègue allait comprendre ce qui se passait entre Marie et lui et espérait qu'elle n'ait pas d'objections, après tout, ils ne faisaient rien de mal, même si c'était un peu un mélange vie privée et professionnelle.

Marie sourit alors à Elisabeth et évita les explications pour le moment. Elle préféra savoir pour Audrey et être rassurez !

Audrey fût transportée par l'ambulance à l'hôpital et Crews monta avec elle pour prévenir des restrictions aux anti - douleurs sans devoir le faire devant les procureurs, supposant que Reese préférait choisir qui elle informait de ses problèmes passés.

HJ : On n'a qu'à faire une suite à l'hôpital, non ?

hs: oui bonne idée : du coup en attendant pendant qu'on fait celui a l'hopital peut-être qu'Elisabeth pourrait rattraper Marie et Loïck ?

HJ : Oui, bonne idée !

hs: j'enchaine ici et tu commences l'autre ? Et Marie rejoindrait à l'hopital pour voir Audrey !

HJ : Oui, ok ! Je te réponds ici dès que j'ai lancé l'autre ^^ !

Otages au tribunal !

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