Une nouvelle vie à deux et une nouvelle surprenante...

HJ : Ah, oui, c'est vrai, désolée, j'avais oublié qu'elle avait fait ça ! ^^

Il ne se voyait pas non plus ne pas la prévenir quand elle faisait une bourde, surtout celle de laisser ses clés hors de l'appartement.

D'accord, si tu veux, ça te changera les idées, tu as raison...

La machine finit, juste après qu'elle soit allée à la cuiine. Il songea à aller la vider.

Elle ne lui répondit pas, un peu fâchée et elle alla voir où en était la cuisson de ce qu'elle avait préparé !

hs: pas grave ^^

Il alla s'occuper de la machine et remarqua que le blanc avait carrément changé de couleur !

**Oups !**

Loïck savait que Marie allait se fâcher s'il parlait du linge déteint et n'était pas en colère que le linge ait pris de sale couleur mais il voulait quand même qu'elle sache que c'était fait, pour éviter de recommencer.

Marie ? dit - il, un peu hésitant quand il alla la voir.

Quoi encore ? dit Marie qui avait toujours la remarque de toute à l'heure dans la tête.

La lessive... Je crois que tu as mis un truc de couleur sombre dans le blanc.

Il avait dit ça sans aggressivité, sans doute en aurait - il ri si Marie n'avait pas été de mauvaise humeur.

La prochaine fois tu auras qu'à t'en occupé dit Marie encore de plus mauvaise humeur. On ne se voit pas de la journée et tu remarques tout mes défauts, tu as décider de pourrir la soirée pour de bon ?

Détends - toi un peu, je ne t'agresse pas, ça m'est égal, c'est juste pour éviter que tu refasses l'erreur une autre fois...

Tu sais quoi dit Marie qui fit mine de réfléchir. Je crois que je ferais mieux de partir ce soir. Elle attrapa en un éclair son téléphone portable qu'elle mit dans sa poche. Se dirigea vers l'entrée pour prendre une veste et enfiler des chaussures...

Il y a un roti au four et un gratin de légume chéri, mais ce sera sans moi bonne soirée...

Il se fit violence pour ne pas répondre, afin d'éviter d'aggaver la situation, mais trouvait que Marie faisait preuve d'un caractère dit "de cochon". Loïck pouvait comprendre qu'elle se braque mais pensait que ça se passerait mieux si elle baissait un peu sa garde concernant ce genre de problème.

Et elle s'en alla claquant la porte. Elle marcha un bon moment avant de se réfugié dans son ancien appartement fatigué par la grossesse.

Loïck de son côté mangea un peu puis hésita à joindre ou non Marie.

Elle passa la nuit là bas. Et partit travailler le lendemain matin. Comme elle ne pouvait plus aller sur le terrain, elle fit de la paperasse. Et le soir vers 20h toujours fâché, elle était resté bosser mais il n'y avait plus personne au commissariat. Hormis son capitaine. Il arriva alors dans son bureau et referma la porte. Marie lui demanda ce qu'il voulait à cette heure là et il répondit simplement qu'il voulait lui parler sérieusement. Il sortit son arme et la pointa sur elle.

Qu'est ce que tu fais ? demanda Marie ça va pas. Baisse cette arme.

Il lui demanda alors de la suivre, elle refusa plusieurs fois mais par soucis de voir se reproduire l'épisode de sa vie où elle avait perdu son bébé, elle dit :

D'accord, mais baisse ton arme...

Avance !

Tu m'emmènes où ?

Mets ça sur tes yeux dit Yoann alors qu'il lui tendit un foulard...

Non, hors de question.

De dos à lui, passant la première, elle l'entendit juste dire:

Très bien comme tu voudras... Et il l'assomma par derrière.

Quand elle ouvrit les yeux. Elle se retrouva dans une pièce carré, fermé, et sans fenêtre. Elle remarqua qu'elle était allongé sur un lit et qu'elle avait mal à la tête. Elle porta une main sur son ventre rond. Les jumelles étaient toujours là, elle respira. Se leva essaya d'ouvrir la porte mais rien. Elle appella à travers la porte, rien non plus... Elle se découragea vite... Et retourna s'allonger.

Loïck, pour sa part laissa un peu de temps passer et tenta ensuite d'appeler Marie, qui ne répondit pas, ni au fixe, ni au portable. Il songea qu'elle faisait la tête et qu'elle ne répondrait pas tout de suite, mais retenta quand même. Pour le moment, il ne se faisait pas encore trop de soucis.

Au bout d'un moment Marie aurait quand même répondu... elle avait été en colère contre lui la veille mais ses humeurs de grossesse la faisait changer vite d'avis... Elle réessaya d'ouvrir la porte mais rien à faire, elle s'acharna et s'énerva... Elle n'avait en plus aucun moyen de communication dans la pièce. Juste un lit, une table et une chaise. Et une petite salle de bain qu'elle n'avait pas encore vu... Et là maintenant, elle regrettait vraiment de s'être fâcher la veille. Elle était fatigué et ça ne servait à rien... Personne ne pouvait l'entendre...

Yoann entra dans la pièce le lendemain à l'aube vers les 5h.

Espèce d'enfoiré commença alors Marie. On est où ?

Calme toi ! Il faut qu'on parle !

Loïck avait fini dans la soirée par aller à son appartement, pour la voir, mais Marie n'avait pas ouvert. Il pensait qu'elle faisait vraiment la tête et retourna la voir le lendemain, juste avant d'aller travailler. Elle n'ouvrait toujours pas. Il commençait à s'inquiéter, même si elle avait été fachée, Marie ne l'aurait pas laissé comme ça sans nouvelle ?

Elle répondit alors à Yoann :

Qu'on parle de quoi ? Franchement on a rien à se dire ! Tu es mon patron ça s'arrête là !

Il lui annonça la couleur maintenant :

Le civil que tu as tuer il y a 10 ans, était mon père !

Loïck, à l'heure où Marie devrait se trouver au travail, décida d'appeler Audrey Reese pour savoir si Marie se trouvait là.

D'après la flic, ce n'était pas le cas.

Il alla voir Elisabeth pour voir si elle avait des nouvelles de Marie qui était amie avec la procureur.

Elisabeth travaillait au palais, sur des rapports quand Loïck vient la voir.

Vous avez besoin de quelque chose ? demanda Elisabeth

C'est personnel, vous avez quelques minutes ? demanda - t'- il. Je voudrais juste savoir si Marie vous a contacté entre hier dans la soirée et ce matin.

Oui bien sûr, j'ai toujours quelques minutes !

Elle trouvait étrange la question et répondit alors :

Non, non pas depuis trois jours sur notre dernière enquête ? Pourquoi ? Il se passe quelques chose ?

Merci...

Il expliqua :

Je ne sais pas exactement, on s'est disputé, mais pas quelque chose de grave. Elle est rentrée chez elle et j'ai essayé de la joindre, mais elle ne répond pas, j'ai essayé chez elle ce matin et pas de réponse. J'ai appelé une de ses collègues, le lieutenant Reese, mais elle ne l'a pas vue non plus. Ca ne ressemble pas à Marie de rater son travail.

[b]Ha... Effectivement ça ne lui ressemble pas... Personne ne l'a vu vous dites entre hier soir et ce matin ? Et elle n'est pas chez elle ? Vous avez les clé de son appartement ? Vous avez essayer les hôpitaux ? Marie est enceinte, on s'est jamais même si je doute fort qu'elle s'y soit rendu.

hs: On pourrait localisé le portable de Marie dans le tiroir de son bureau ce qui leur donnerait l'idée d'une vrai disparition, puisque depuis qu'il lui avait fait la remarque Loïck aurait remarquer qu'elle faisait plus attention au fait de prendre son portable avec elle.

Apparemment, personne ne l'a vue... Oh, c'est vrai, j'ai ses clés, je pourrais aller vérifier chez elle, je n'y ai même pas pensé... Je n'ai pas fait les hôpitaux, comme vous dites, elle n'y serait pas allée d'elle - même, alors j'ai privilgié la piste du travail... Mais on pourrait essayer de la repérer via son téléphone, je crois qu'elle l'aura.

Ils s'étaient disputés à ce sujet, Marie avait peut - être fait un effort, du coup, pour le garder.

HJ : Ok, je l'ai intégré ^^ !

Okay. Aller voir à son appartement et je vais demander à Audrey de localisé son portable, je vais aller voir sur place au bureau et savoir qui l'aurait vu pour la dernière fois et à quel heure.

D'accord, j'y vais... On se tient au courant. Et merci d'aider.

Une nouvelle vie à deux et une nouvelle surprenante...

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