Cher Journal...

Elle fit une moue avec ses lèvres.

Et tu m'aimes encore avec ce corps difforme et je me demande comment tu fais parce que moi je ne le supporte plus. Elle s'allongea sur le côté de manière à ce qu'il puisse atteindre son dos sans pour autant s'allonger sur le ventre comme elle ne pouvait plus le faire. Elle avait retirer son haut et descendu la ceinture de pantalon qu'elle portait autour de son ventre. Un maintien qu'elle jugeait utile pour lutter contre les désagrément de la grossesse avec le ventre qu'elle avait déjà vraiment imposant.

Je t'aime avec ce corps difforme, future mère de nos enfants. dit - il, mi sérieux, mi plaisantant.

Elle en sourit un peu et se détendit pour ne pas paraitre crispé.

Se sera quand même mieux quand il aura retrouver sa forme normal ! dit la jeune femme.

Je t'aime comme tu es ! sourit - il, massant son dos.

Tu sais que ça fait un bien fou. dit Marie fermant un peu les yeux

Tant mieux ma chérie, ça me fait plaisir de te soulager.

Marie sentit les jumelles bouger au bout d'un moment et elle dit :

Donne moi ta main.

Oui...

Il la lui donna, un peu surpris par la demande.

Elle l'avait dit comme ça sortit de nul part mais elle ne pouvait pas attendre et elle voulait lui faire la surprise. Elle prit la main de son cher et tendre et la déposa sur la zone de son ventre où les jumelles bougeait et elle sourit attendant sa réaction.

Il sourit :

C'est incroyable, waow...

Il manquait de mots pour le décrire.

Elle ne bouge pas beaucoup mais là pour une fois elle se lâche, je suis contente que tu les sentes.

Marie sourit.

Oui je les sens très bien, là... sourit Loïck.

ça te fais quoi ? demanda Marie.

Il n'y a pas de mot... sourit - il. C'est génial, de les sentir...

Profite tant qu'elle le font alors dit Marie qui le sentit s'allonger derrière elle avec la main toujours poser sur son ventre.

Il sourit :

Je vais le faire...

Il laissa sa main sur le ventre de sa compagne.

HJ : J'y vais !

Elle mit sa main sur la sienne tandis qu'il profitait de sentir leurs filles bouger. ce moment de détente après la discussion sur Yoann fit du bien à Marie comme à Loïck. Et Marie se sentit mieux physiquement. Elle était prête à retourner bosser le lendemain !

Je te fais confiance pour ça.

Il sourit :

Je suis tellement heureux avec toi.

Elle sourit et caressa sa main.

Oui moi aussi.

**Et c'est pour ça que je ne veux pas combattre Yoann pour pas perdre ce que j'ai ici**

Il sourit et laissa sa main, sentant leurs enfants...

C'était pour garder ce bonheur que lui aurait voulu combattre Yoann, quitte à le faire seul... Mais il n'était pas flic, Loïck ne menait pas d'enquêtes de A à Z et certainement pas sur un type qui avait tué autant sans jamais se faire prendre. Il savait que seul ça n'irait pas, mais à qui demander ? Marie ne tenait pas, au moins pour le moment, à l'affronter et il essayait de se convaincre qu'Aurey ne méritait de se retrouver coincée là dedans : pour autant que le procureur la connaissait et l'avait vu agir pour retrouver sa compagne, elle aurait sûrement accepté mais ce n'était pas juste ni pour elle ni pour Crews ou aucun flic de risquer sa tête pour aider la femme que lui aimait. Il s'en voulait d'avoir seulement pensé à envoyer ces personnes dans les problèmes pour aider Marie.

Marie se dit qu'elle ne les avait même pas remercier pour avoir tout essayer pour la retrouver le mois dernier. Elle allait leur offrir un verre déjà avant de trouver quelques chose de mieux. Elle regarda leur main et les petites bosse qui se formait par moment sur le ventre de Marie et qui était des mouvements de leurs filles.

Loïck décida de se concentrer sur les bébés et Marie et de repousser à plus tard ses pensées quant à Yoann.

Je pensais pas que j'apprécierais autant des moments comme ça quand je t'ai annoncer que j'étais enceinte.

Il sourit :

Je suis heureux que tu vois les choses ainsi !

Après ce n'est pas trop compliqué d'apprécier ça, c'est tellement magique j'hallucine un peu quand je vois ça.

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