Enquête !

Vous allez nous versé aussi une petite larme dit Marie sur le ton de l'ironie sans décoincé un sourire.

C'était mon amie ! dit la femme, décidemment peu douée, sa peur d'être choppée semblait prendre le dessus.

Amie qui s'envoyait en l'air avec votre époux dit Marie.

Quoi, je... Non, non, vous êtes malade !?

Elle aurait dû prendre des cours de comédies.

Vous jouer très mal dit Marie.

Vous savez tout depuis le début mais vous voulez nous persuader du contraire. c'est assez pathétique !

Vous avez quelques chose a cacher où votre anxiété est habituel... lança Marie glacial.

j'y vais dormir bis i'm dead !

Non ! protesta l'épouse. Je ne suis pas anxieuse.

Elle aurait mieux fait de dire le contraire.

HJ : Bonne nuit (méritée après une nuit blanche) !

Votre mari et la victime était amants et vous aller nous dire que vous ne vous êtes rendu compte de rien. dit Marie. ça fait plus d'une dizaine d'année en plus de ça !

Et alors quoi ? Ca fait de moi l'assassin ? questionna la femme de Blanc, tentant de masquer sa nervosité.

Vous découvrez la liaison de votre mari, l'amour est un bon mobile pour un crime. dit Marie.

Oui mon mari couchait avec cette salope, c'est ça ce que vous voulez entendre ? Oui, ça me mettait vraiment en colère mais je ne l'ai pas tuée, certainement pas pour ça !

Son problème, c'était l'enfant né de l'adultère, c'était à cause de lui, le meurtre, pas de l'infidélité.

Votre mari s'est-il que vous étiez au courant ? demanda Marie.

Pour l'enfant elle attendais encore un peu...

Non, cet idiot se croit discret. Les femmes sentent ça mais lui... Il croyait qu'il était bon menteur. dit elle.

Et vous ne lui avez jamais dis, après 10 ans ? demanda encore Marie.

Elle, elle lui aurait sauté à la gorge !

Je voulais le garder. lança l'épouse. Pas le perdre pour la jalousie.

Mais l'enfant rendait ça dur : si le mari s'en rapprochait, il s'éloignait de sa femme... Et se rapprochait de la maitresse. Ca, ça l'avait rendue folle.

Et l'enfant ? dit enfin Marie.

Quoi ?

Elle eût la mauvaise idée, sur une impulsion, de dire :

Comment vous savez ?

Vous saviez ! Bravo on attendait pas moins de vous qu'une impulsion.

Elle demanda sérieusement :

Que faisiez vous hier entre 22h et 23h30 ?

Oh ça va ! lança - t'- elle, furieuse et aigrie par la moquerie. Elle perdrait son contrôle. Quoi ? Rien, j'étais chez moi.

Quelqu'un peut le confirmer ? demanda Marie.

**Merde l'alibi !**

Son geste de tuer l'autre femme avait été si impulsif qu'elle n'avait pas su couvrir ses traces.

Non, personne.

Vous savez que vous devenez suspect numéro 1 et que par conséquent nous allons être obliger de vous garder un garde à vu. Dit Marie.

Si ça vous chante de perdre votre temps avec moi. dit - elle.

Mais c'était le genre qui parlerait dès la première demie heure de garde à vue... Si ça durait si longtemps.

Comment preniez vous le fait qu'il est un enfant de sa maitresse ? demanda Marie.

A votre avis ? Hein ? Comment vous pensez que j'allais le prendre ? J'étais folle de rage ! s'emporta la femme.

C'était un point sensible, l'humiliation de plus.

[c]Marie marcha en rond récapitulant à sa sauce ![/c]

Donc vous découvrez que votre mari a une aventure avec ma victime, que de celle ci est né un enfant. Folle de rage de découvrir ceci, vous décider pour en finir et surtout pour garder votre mari, de tuer l'amante gênante. vous donner par la une leçon a votre mari et vous êtes débarrassé.

Enquête !

Enquête !

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