Enquête !

Je ne vous ai pas demander votre avis ! dit L'homme en rogne.

Ouais, et bien je vais vous le donner quand même parce - que vous êtes accusé de complicité de meurtre et vous êtes là, à nous chanter qu'il est naturel de plaisanter avec sa maitresse amoureuse de soi à propos du meutre de votre épouse. commenta Audrey.

Vous avez qu'à m'arrêter ! dit l'homme Je ne répondrais plus à aucune de vos question sans un avocat !

Audrey le conduisit à la voiture pour l'emmener au poste :

Bien, monsieur l'amant dont la maitresse tue l'épouse et qui fait comme s'il n'avait rien remarqué. Vous serez le prochain objet des plaisanteries au palais de justice.

C'était plus de la provocation qu'autre chose, histoire de voir s'il avourait ou non. Mais le témoingnage à charge de sa maîtresse était mauvais pour lui.

L'homme ne répondit rien !

Il se doutait que si sa maitresse avait avouer, il pourrait difficilement nier.

Il demanda avant :

Et pour mes filles ?

Ca, il fallait y penser avant de couvrir votre maitresse pour le meurtre de votre femme. commenta Audrey, parce - que ce type valait bien qu'on l'embête beaucoup.

Vous n'allez pas les laisser livré à elle même, elle ont à peine 10 et 6 ans ! dit l'homme !

il ignora le reste.

Mais vous êtes le premier qui allez les laisser livrer à elles - mêmes, en autorisant votre maitresse à tuer la mère de ces petites filles et en finissant en prison vous aussi. dit Audrey.

Elles n'ont rien demander dit l'homme

Justement, et c'est pour cela vous auriez dû les protéger de cette idée de meurtre. commenta froidement Audrey.

Il ne répondit rien !

Il espérait juste que les flics ne laisserais pas les deux petites fille.

Audrey commenta, faisant semblant de juste parler à Marie :

Là, je parie qu'il commence à se dire que d'avoir laissé faire Mme Blanc n'était pas une si bonne idée.

Marie haussa les sourcils, elle était d'accord avec Audrey !

Qu'est ce que vous cherchez dit-il l'homme ne supportait pas ces commentaire !

Rien, je parle à ma collègue. dit Audrey, très détâchée.

Bon on l'embarque dit Marie.

Oui.

Les deux femmes montèrent en voiture, avec Mr Lautrec, éloignant l'homme de ses filles et Audrey, en tous cas, donnant l'impression de s'en foutre. C'était pour mettre la pression au mari, tout comme les commentaires qu'avaient faits Reese.

Marie ne disait trop rien, elle avait compris le jeu d'Audrey et elle était tout de même assez préoccupé par les fillettes.

Audrey opta pour la technique vraiment barbare, évidemment, elles avaient prévenue une assistante sociale pour qu'elle aille chercher les petites mais Reese dit :

Quand même, 10 et 6 ans, pour les laisser seules, c'est assez imprudent. Surtout qu'elles doivent être perturbées, en ce moment.

Elle faisait semblant de parler à Marie à nouveau.

Les pauvres enfants ! dit Marie

Elles doivent se demander ce qui se passe et elle vienne de perdre leur mère !

Oui et leur père ne réapparaît plus, il a été embarqué par deux flics... dit Audrey, pour enfoncer le clou.

Marie tourna la tête vers l'arrière de la voiture...

Je serais lui, je devrais avoir honte !

L'homme, pas fier, se mordit la lèvre.

Oui, parfaitement, honte de laisser les filles dans cet état.

Elles ne méritaientt pas de vivre ça ! enfonça Marie également voyant qu'il se mordait la lèvre.

Ecoutez, oui, je savais ce que ma maîtresse allait faire, mais laissez mes filles tranquilles. Laissez les à leur grand mère. dit l'homme.

C'est un aveux ? demanda Marie.

Enquête !

Enquête !

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