Enquête !

Oui, c'est clair. dit Audrey.

Elle dit :

Je l'aurais fait à ta place, mais je pense qu'il faut faire chacun son exemplaire . Mais à défaut, on n'aura qu'à boire un verre après le service.

J'ai l'habitude ne t'en fais pas pour ça, et à défaut d'être seule, j'ai tout mon temps.

Et j'accepte le verre dit-il

D'accord, oui je me doute que ça arrive souvent.

Elle sourit :

Tant mieux !

Bon il nous reste un complice à arrêter je crois. dit Marie.

d'ailleurs je me demande bien qui s'occupera des enfants.

Oui, allons - y, tu as raison.

Elle soupira :

On essaiera de voir si on trouve de la famille.

HJ : J'y vais !

Les deux jeunes femmes partirent alors cherchez le mari de la victime !

On trouvera bien !

J'espère...

Elles arrivèrent chez le mari. Audrey sonna.

Mr Lautrec ouvrit la porte bien 5 minutes après.
Et Soupirant en voyant les deux flics.

Qu'est ce que vous voulez ? demanda-t-il.

Vous arrêter pour complicité de meurtre. dit Audrey.

Quoi ? Ma femme est morte et vous m'accusez de complicité de meurtre ? Vous êtes folles !! s'emporta le mari.

On n'a jamais été aussi lucides, n'est - ce pas lieutenant Kermeur ?

Audrey passa les menottes à l'homme.

hs: moi c'est balaguère Mdr ! ^^

On se bat pour la justice tout à fait !

L'homme se débatie quand Audrey lui passa les menottes !

Je ne vous laisserais pas m'arrêter sans preuve ! De plus mes filles sont toute seule à la maison

HJ : Eh merde, désolée ^^ ! Je me suis trompée... Faut dire, elles se ressemblent lol lol !

Voilà.

Audrey dit :

Si vous continuez à vous débattre, je vous colle "agression sur agent de la force publique pendant l'exercice de ses fonctions". On appelera quelqu'un pour vos filles.

Vous n'avez aucun droit de m'arrêter !!!! continua le mari.

hs: j'avoue dans le style original lol ! Elles s'appelle toutes les deux Marie et j'ai pris Ingrid pour les deux Mdr ^^ !

Si, on a ce droit. dit Audrey.

HJ : Oui, c'est vrai, même le prénom est le même ^^ !

Les deux femmes parvinrent à le calmer.

Je n'ai pas tuer ma femme dit-il abattu !

Non, mais vous saviez que votre maitresse allait le faire. dit Audrey. C'est de la complicité.

Je ne pensais pas qu'elle était sérieuse ! dit L'homme !

Audrey commenta :

Non, elle vous explique qu'elle veut la tuer et comment et vous pensiez qu'elle faisait de l'humour... Remarquez, elle, elle a essayé de vous couvrir, au début. Vous, vous la balancez tout de suite.

Elles auraient pu s'attendre à ce qu'il joue son amant protecteur, et s'accuse du crime, même si c'était perdu d'avance. La réaction aurait été logique.

Elles étaient amies ! Il nous arrivait de plaisanter sur des sujets que vous trouverez assez grave sans doute. Comme la mort de sa propre femme.

Je ne la balance pas ! Nous n'avons tuer personne ! Elle n'est pas capable de faire du mal à une mouche et vous voudriez qu'elle est tuer ma femme ! Alors qu'entre nous c'était claire !

Oui, la mort de votre épouse est un sujet sympa sur lequel plaisanter avec votre maitresse, logique.

Audrey commenta :

Elle a avoué. Et qu'est ce qui était clair entre vous ?

On couchait ensemble un point c'est tout, elle savait que je ne quitterais pas ma femme pour vivre avec elle !

Je ne vous crois pas, elle n'a pas pu vous dire ça !

Justement, non, si vous aviez pris le temps de lui parler, vous auriez remarqué qu'elle était tombée amoureuse de vous. Et pourtant, c'est qu'elle a dit. dit Audrey.

Ma femme aimait son mari ! Je faisais la différence !

Non, vous ne savez pas faire la différence, à l'évidence ! lança Audrey.

Enquête !

Enquête !

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