Enquête !

Peut-être bien qu'il vous aimait et pour se venger il aurait commandité le meurtre avec vous, ce serait une excellente façon pour que vous partiez ensemble.

Non !!! On ne l'a pas fait ensemble, il est innoncent !

On remarquait cependant qu'elle protégeait son amant... Au nom de cet amour jamais révélé.

Vous voulez le protéger ? demanda Marie.

Non, il est juste innocent !

Mais elle disait trop a d'un ton "je vous supplie de me croire" pour que ce soit vrai.

Vous sur jouer, je ne vous crois pas ! dit Marie.

S'il était si innoncent que ça, vous ne tenteriez pas à tout prit de nous le faire croire !

Je veux juste... Je veux le protéger.

Mais elle se rendit compte trop tard que c'était un aveu.

Je... Oui, il savait. Mais il ne l'a pas touchée.

Merci pour ce précieux aveu, votre "amant" est aussi coupable pour complicité d'assassinat après ce que vous venez de nous dire, ça coute cher pour une personne qui ne commet pas de ces mains le crime. dit Marie.

Mais il ne lui a rien fait ! dit - elle. Il ne l'a pas touchée.

Il savait, il vous a laisser faire, et vous vous êtes vu la veille probablement pour le planifié, je suppose. dit Marie.

Elle baissa les yeux, inutile qu'elle le confirme, c'était évident, lui semblait - il. Elle avait été incapable de résister à la pression d'être convoquée au commissariat et d'avoir tué une femme.

Vous serez différer à la maison d'arrêt de Paris pour le meurtre de Mme Emily Lautrec en attendant le procès. Son mari sera également juger pour complicité de meurtre. dit Marie d'un ton neutre et froid.

Mme Blanc se mit à pleurer... Tout ça était un gâchis énorme, si seulement ils avaient juste divorcé...

Plus personne ne dit rien. Le lieutenant Balaguère sortit et appela des flics pour la mettre en cellule. En Passant dans le couloir menotte au main, elle croisa son mari qui la regardait, elle baissa les yeux.

Ce n'est pas vrai ? Ce n'est pas ma femme qui a... mumura l'homme.

Marie lui dit :

Je suis désolé pour vous... Elle était sincère, dans toute cette histoire, c'était lui qui avait tout perdu et qui n'avait rien demander.

Moi aussi... Je veux rentrer ! dit - il, fatigué par tout ça.

Vous êtes libre dit Marie. Vous pouvez rentré...

Merci. dit l'homme, peiné par tout ça. Il lui faudrait du temps pour se remettre.

Marie se dirigea alors vers la machine a café, elle avait bien besoin de ça, l'ambiance était morose.

Audrey soupira :

C'est plutôt bizarre, cette affaire... Ils auraient dû parler entre eux.

Il aurait dû le faire mais 10 ans après ça doit être compliquer je suppose. Elle s'en servit un bien corcé.

Je suis triste pour l'amant de la victime, il n'a rien demander...

Oui, c'est vrai, il perd beaucoup. soupira Audrey.

Enfin, c'est comme ça... Dit Marie

Elle vida son gobelet et le jeta dans la poubelle.

On ne risque pas d'y changer quoi que ce soit, c'est vrai. dit Audrey.

C'est toujours comme ça de tout manière après une enquête. dit Marie.

Je déprime de taper le rapport Elle rit.

Enquête !

Enquête !

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